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 Rencontre fortuite [Clark Kent & Caleb East]

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Caleb East
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MessageSujet: Rencontre fortuite [Clark Kent & Caleb East]   Rencontre fortuite [Clark Kent & Caleb East] EmptyLun 11 Fév - 14:59

Clark Kent & Caleb East
Clark Kent & Caleb East, se retrouvent en Février 2013, alors que l'horloge affiche le début de soirée en cette soirée claire et dégagée pour une rencontre fortuite. Les personnages se retrouvent dans l'immeuble où réside Clark Kent - Black Street - Old Gotham et ils autorisent les trois PNJs à intervenir dans ce rp. Les images utilisées ci-dessus proviennent de Tumblr. Bonne lecture ♥


Le ciel est clair et dégagé. Les rayons chauds du soleil nous font presque oublier que l'hiver est toujours là. Le printemps n'arrivera que dans plus d'un mois et malgré cela, à l'image d'un lézard tendant le cou pour essayer d'emmagasiner le plus de chaleur possible, je profite assis sur un banc, des dernières lueurs. Plus loin, des enfants jouent au foot sous le regard bienveillant et protecteur de leurs ascendants. Ils s'amusent, rient, je les jalouse quelque peu. Je n'ai toujours pas compris comment les choses fonctionnent pour “obtenir” des parents et si pour moi une conception ne peut se dérouler qu'à l'image de la mienne – dans une cuve au fond d'un laboratoire en somme – je n'en suis pas moins envieux au point d'en détourner le regard.

Trop d'éléments, de paramètres me restent étrangers pour pleinement espérer trouver une place pour moi dans ce monde fou. Je suis cependant décidé aujourd'hui à ne plus me laisser “stagner”, mais à me secouer les puces. Je ne vais plus attendre bêtement que les choses me tombent dans les bras et cesser enfin de n'être que spectateur. Devenir enfin acteur...

Quelques semaines plus tôt, derrière la la vitrine d'un magasin, dans un poste de télévision, qu'il y a d'autres personne qui “comme” moi, sont capables de faire des choses “anormales” pour la majorité des habitants de ce monde. J'ai assimilé le fait que la plupart de ces êtres extra-ordinaires ne sortent que de nuit. C'est pour cette raison que j'attends, oisif sur ce banc, à attendre non sans impatience, la tombée de la nuit. Une chance qu'en février, il ne faille attendre au delà de dix-neufs heures pour qu'il fasse noir. J'ai également compris que pour les voir – ou du moins l'espérer – il faut franchir des lignes conductrices. Pénétrer chez quelqu'un, aux vues de ma précédente expérience, j'ai parfaitement comprit qu'il s'agit de l'une d'entre elle. Mes projets ce soir sont donc d'utiliser ce moyen d'attirer l'attention, quant à la méthode pour les faire venir... Sauter dans le vide en espérant que les choses tournent comme lors de ma fuite du laboratoire, que ma télékinésie - ou je ne sais pas quoi – se déclenche pour que je ne finisse pas en miette.

Le projet est ambitieux, mais qui ne tente rien n'a rien. Je ne peux plus rester dans ma condition à devoir arracher la nourriture de la bouche des passants, à trembler dès qu'une alarme s'élève me demandant s'il s'agit d'eux, de mes créateurs, s'ils ont retrouvé ma trace ou non. Ce n'est pas une vie. Ce n'est pas ce que j'avais imaginé en fuyant. Et ce n'est surtout pas ce que je veux.

Lorsque l'obscurité commence à tomber, je suis déjà dans le vieux Gotham à observer les immeubles. Je dois trouver quelque chose d'accessible qui possède des fenêtres pas trop haut, juste au cas ou. Le nombre d'étages m'indiffère, je ne compte pas monter plus haut que le second. L'appartement que je compte visiter doit être plongé dans le noir, pour être certain de ne tomber sur personne plus tôt que je ne le voudrai. Je dois aussi avoir des voix d'accès assez facile au cas où je devrai finalement fuir. C'est justement ce qui m'arrête devant cet immeuble. Des terrasses m'offrent un plongeon directe de la rue qui possède des croisements non loin. En cas de fuite, semer mes poursuivant en sera plus facile. Dans le sens opposé, ces mêmes balcons vont me permettre, en les escaladant, de passer au premier puis au second étage par ce biais. Pour faire savoir ma présence et être repéré par ceux que j'aspire à rencontrer, j'espère que je n'aurai qu'à casser une vitre.

Un regard circulaire autour de moi. Personne, c'est le moment. Je prends mon élan et saute face au mur du rez de chaussée pour saisir l'appui-fenêtre plus haut. Je tire sur mes bras pour me hisser sur le rebord. Je grommelle entre mes dents. De nouveau face au vide, la première terrasse n'est qu'à deux ou trois mètres sur ma droite. Qu'est-ce que je fais ? J'me défile ou j'y vais ? Je me redresse. J'hésite. Finalement je m'élance et manque de rater ma prise. Pendant dans le vide, je me jure que la prochaine fois, je penserai à ne pas rester pieds nus. De nouveau, je tire sur mes bras jusqu'à réussir à passer ma première jambe par dessus le garde-corps. Je laisse la graviter et la force de mouvement opérée : je retombe lourdement et sans me retenir sur la première terrasse. Je reprends mon souffle sur le dos. Dans quoi me suis-je encore lancé... Pas le temps de s’apitoyer sur mon sort. Déjà, je me remets sur mes jambes. J'observe en me penchant vers le vide, l'étage au dessus afin d'évaluer les distances. Ça devrai le faire. Je monte sur le muret du garde-corps et me dresse pour chercher une prise plus haut. Je m'étire, je suis sur la pointe des pieds et seuls mes doigts parviennent à trouver une protubérance, je n'arrive pas à saisir pleinement quoi que ce soit. Je me penche trop alors, je glisse et me revoilà presque au point de départ : le corps dans le vide, accroché à la première terrasse. Je remarque alors l'évacuation métallique d'une gouttière allant jusqu'au dernier étage. Parfait, je ne compte pas monter jusque là de toute manière. Ne me tenant plus que d'une main, je tente d'attraper le conduit d'évacuation une première fois. Trop court ! Ai-je grondé. Je recommence en me balançant cette fois... Enfin je l'ai ! Un pied de chaque côté, je m'en sers comme d'une corde. Malgré les grincements métalliques, ça tient bon et enfin j'arrive à la hauteur de la terrasse du second étage. Me servant de mon corps comme d'un balancier, je l'y lance et atterris en catastrophe essoufflé, mais entier et à destination.

Je marque un temps d'arrêt pour me reprendre. Je me relève, m'époussette – bien que vu mes condition de vie, un peu plus ou un peu moins... Je tiens presque du “ramoneur” ces temps-ci – et j'observe autour de moi. Maintenant je dois faire remarquer ma présence – bien que le bruit que j'ai dû faire ait déjà pu me trahir. Le premier objet que je trouve sur la terrasse, je m'en empare, menaçant à présent la fenêtre pour la briser.

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MessageSujet: Re: Rencontre fortuite [Clark Kent & Caleb East]   Rencontre fortuite [Clark Kent & Caleb East] EmptyDim 17 Fév - 21:50

Flottant au dessus de la ville, je regardais Metropolis silencieusement, veillant, à l’écoute, à ce que tout se passe pour le mieux. Je surveillais tranquillement les habitants de ma ville de cœur, celle qui m’avait accueillit et celle que j’aidais à rendre meilleur. Le temps était clair et doux et cela était véritablement agréable de flotter au dessus des nuages et de me balader doucement par-dessus les grattes ciel tout en regardant et surveillant les habitants de la ville. Ce que je cherchais ? Rien du tout. Au contraire, j’espérais que rien ne se passe. Mais j’étais à l’affut du moindre accident, voiture ou chute, du moindre geste de délinquance, agression, vole, bousculade et j’en passe. N’importe quoi qui demanderait l’aide de Superman pour que rien ne dégénère. J’essayais tant bien que mal de laisser les citoyens régler leurs problèmes par eux-mêmes cependant parfois cela dégénérait et je me devais d’intervenir pour éviter un drame. Le pire homme de ce monde avait droit de vie et se dernier devait payer ses crimes devant un tribunal. Que justice soit faite. Chose qui ne plaisait pas à tous les citoyens de cette ville et du monde qui, en bon humain, avaient parfois des envies de vengeance. Chose que je pouvais comprendre, ayant moi-même vécu en tant qu’humain pratiquement toute ma vie. Mais ma formation auprès de mon paternel biologique dans la forteresse de la solitude m’avait octroyé une nouvelle vision des choses, du mondes, des gens et je me devais, pour faire honneur à mon peuple disparue et à ma famille, de me lancer dans ma destinée à fond et de faire valoir la justice en ce monde.

Je me laissais donc porter par les courants légèrement frais de la nuit en me dirigeant sur un circuit imaginaire au dessus des rues. Certaines personnes à leurs fenêtres qui levaient les yeux au ciel me voyaient et me faisaient un petit signe en souriant, chose que je leur rendais. Ma simple présence leur permettait de se sentir en sécurité et c’était une véritable récompense pour ma part d’offrir aux habitants de cette ville ce genre de sentiment. Même si de plus en plus de personnes, même à Metropolis, remettaient en cause ma présence dans leur ville et sur Terre. Depuis le désastre qui avait pu se passer quelques semaines plus tôt, l’attaque de Darkseid et de son armée d’extraterrestre, la mort de Batman, la population de la Terre avait commencée à douter de l’efficacité des justiciers dans leurs rôles de protecteur mais surtout, ils commençaient à avoir peur que l’un de nous se retourne et uses de ses dons extraordinaire pour prendre le contrôle de la planète. D’autant plus que pour ma part j’étais issus d’un peuple extraterrestre et que l’ensemble des Terriens le savaient. Ma crédibilité à leurs yeux était donc remise en cause après l’apparition de Darkseid. Ce que je comprenais parfaitement. Cependant, il était hors de question pour moi de me détourner de ma destiné de champion de la Terre et de laisser les habitants de cette planète à leur propre sort. Même si une minorité grandissante voulait que je disparaisse.

En pensant à cela, je pensais donc à Gotham. Cette ville qui avait perdue son protecteur et qui, depuis, se laissait doucement dépérir. Les héros qui l’habitaient avaient du mal depuis l’attaque à se coordonner et à se remettre totalement des émotions dû à la disparition du chevalier noir. Bruce était un ami fidèle et un allié de valeur. Certainement le meilleur dans son domaine malgré son manque de don. Il avait des connaissances et des compétences qui le rendaient supérieur aux méta-humains et je ne pouvais le nier. Sa disparition était une grande perte pour nous aussi bien du point de vue humain que justicier. Et je ne savais pas trop comment faire concernant cette ville qui avait grandement besoin d’aide. Je voulais laisser les autres justiciers reprendre le flambeau et les héritier de Bruce devenir les leaders de Gotham, mais ils avaient besoin d’aide et cela se faisait cruellement ressentir lorsqu’on voyait cette ville dépérir de jour en jour. Il y avait bien Oracle qui essayait tant bien que mal de les réunir et les coordonner mais voila, la défaite avait un gout amer et était loin d’être passé, même si dans le fond, nous avions gagné la guerre. Tout en pensant à ça, je revenais doucement vers Gotham, laissant Metropolis pour la nuit, confiant que rien ne se passe pour cette nuit là. Bien qu’il fasse nuit, je voyais au fil des kilomètres que le ciel s’assombrissait encore alors que je me rapprochais de ma nouvelle ville, de mon nouveau lieu de travail. Comme si le mauvais temps était né ici. J’en souriais, cela allait parfaitement avec le style du Dark Knight. Je continuais donc de voler, me dirigeant vers mon petit appartement pour me changer et dormir quelques petites heures alors que j’entendis d’un seul coup le bruit d’une glace qui se brisait. Tournant la tête vers l’endroit ; je plissais des yeux et vis alors une silhouette escalader un balcon avant d’en briser la vitre. Un cambrioleur ? Sans attendre, je me dirigeais donc vers l’endroit et voyait le dit homme attendre, comme si de rien n’était. « Je pense que pour ce soir, on va éviter de briser autre chose. Posez calmement cette brique sur le sol. » Lui demandais-je alors que je flottais à quelques petits mètres au dessus de lui…
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MessageSujet: Re: Rencontre fortuite [Clark Kent & Caleb East]   Rencontre fortuite [Clark Kent & Caleb East] EmptyLun 18 Fév - 9:14


La brique est lancée et bien sûr, la vitre se brise en une pluie de brillants. Constat qui en découle : l'idée, tout en étant pieds nus, était particulièrement mauvaise, mais qu'importe. J'attends quelques instants, m'interrogeant sur l'efficacité d'une seule fenêtre brisée. Peut-être le son ne sera-t-il pas suffisant... Je me saisis de nouveau de mon projectile pour renouveler l'opération : dans le doute, mieux vaut trop que pas assez, non ?

Une voix s'élève subitement, comme sortie de nulle part provoquant un sursaut. J'arrête instantanément mon geste et m'immobilise. Un regard à droite, un regard à gauche, personne. Perplexe, je rabaisse mon bras et jette un coup d'oeil par-dessus le garde-corps en quête en contrebas, du propriétaire de la voix entendue, toujours personne. Ce n'est que lorsque j'observe une ombre au sol, différentes de la mienne, que je relève les yeux vers les cieux pour enfin découvrir avec stupeur qu'un homme se tient debout au-dessus de moi. Surpris, je reste interdit quelques instants, le fixant du regard. Je ne m'étais pas réellement attendu à ce que l'idée saugrenue fonctionne réellement. Machinalement, je cherche dans l'air un support sur lequel pourrai reposer l'inconnu, battant le vide du bras. Rien. J'observe ma brique, puis le nouvel arrivant. Et si une estrade se trouvait juste sous ses pieds, trop haut pour que je l’atteigne ? Un jeu de vitre, de miroir peut-être brouillerait la vision du dessous... Je lance ma brique à la verticale et me décale pour ne pas en recevoir le retour sur la tête. Mon lancé indique clairement qu'il n'a rien d'hostile puisque si j'avais tenté de lui envoyer le projectile, mon tir aurait été courbe et non perpendiculaire au sol.

De toute évidence, il n'y a aucun trucage. Un sourire étire mes lèvres, j'ai réussi à obtenir le résultat escompté. Pour la suite cependant, je n'ai aucun filet. Je vais devoir improviser. Persuadé de ne connaître aucun succès, je ne me suis pas projeté plus loin dans mes projets et c'est un peu sottement que je lance :

- Vous volez pour de vrai...

N'ayant qu'une connaissance toute relative du bien ou du mal, j'en oublie cette vitre brisée, la faim qui pourtant menace de faire rugir mon estomac et l'énergie déployée pour monter jusqu'ici. Bien sûr pour les familiers de ce monde cette silhouette, cette particularité de “léviter” et ce “S” sur son torse ne sont pas trompeurs sur l'identité de celui qui se tient au dessus de moi. En revanche, pour quelqu'un qui comme moi n'a connu qu'une cuve comme environnement et qui ne connaît la liberté que depuis quelques mois, c'est une tout autre paire de manches. C'est la curiosité désormais que mon regard trahi.

- Comment ? Comment faites-vous ? Ai-je demandé.

Droit au but... C'est le moins que l'on puisse dire. Aucune présentation, aucune délicatesse, mes expériences en matière de communication sont trop maigres pour que je maîtrise les subtilités d'une rencontre. Loin de me douter que si j'ai survécu à ma chute de la fenêtre du laboratoire lors de ma fuite, ce n'est pas par le biais d'une quelconque capacité au vol, mais par celui d'un don de télékinésie ne s'éveillant que sous certaines conditions émotionnelles telles que la peur ou la colère, je cherche à comprendre.

- Qui êtes-vous ? Ai-je demandé alors que légitimement, ce n'est pas moi qui devrai poser cette question. De quel laboratoire venez-vous ? Depuis combien de temps êtes-vous dehors ? Vous êtes... Vieux. Ça fait longtemps ? Ils vous cherchent encore ou ils vous laissent tranquille ?

La pluie de questions commence à tomber. Avide d'apprendre, de savoir, de découvrir, mais surtout particulièrement curieux, il est courant lorsque je me lance, que je noie mes interlocuteurs d'un flot ininterrompu interrogatif.

Mon regard le scrute, l'observe avec attention et je remarque cette manière de se vêtir. Pourquoi les gens “différents” portent-ils toujours des tenues différentes des personnes... “Normales” ? Du moins, pour ce que j'ai pu observer derrière les vitrines des commerces vendant des téléviseurs. Je me recule pour obtenir une meilleure vision de l'homme. Un bris de verre sous le talon me ramène à mes actes. Grimaçant, j'ôte l'intrus qui ne m'a fort heureusement pas blessé. J'observe ensuite l'endroit où plus tôt se trouvait encore une vitre, puis l'inconnu.

- Je ne savais pas comment on appelle les gens différents pour les voir... J'ai vu dans les téléviseurs que... Alors j'ai... Me suis-je excusé en terminant mes phrases par des regards vers mes dégâts. J'ai parfaitement assimilé l'idée que briser des vitres chez des gens faisait partie de ces choses à ne pas faire pour avoir la paix, mais en dehors de cela, seule la séquestration est une manière d'attirer ces justiciers que j'ai parfaitement cernés. Il faut bien avouer que la seconde option n'a pas une seconde effleuré mon esprit. D'une part, je ne saurai pas réellement comment m'y prendre et d'autre part, c'est ma place en ce monde que je cherche, pas à en terroriser les habitants. Quant à savoir pourquoi cet immeuble particulièrement... Avec les ouvertures dehors, c'était plus facile ici... Et comme c'est pas encore trop haut... Ai-je justifié mon choix malgré tout un peu gêné il est vrai.

Mais ce genre de considérations n'a qu'une courte durée de vie chez moi et déjà, c'est la curiosité qui prend le pas. Peut-être vais-je enfin pouvoir comprendre comment fonctionne le monde ? Comment je fonctionne ? Comment trouver ma place pour enfin quitter la précarité de ma situation ? Beaucoup d'espoirs résonnent dans mon esprit, probablement trop d'ailleurs, mais c'est plus fort que moi, je ne peux m'empêcher de “m'emballer”, trop enthousiaste, ne laissant pas à mon interlocuteur le loisir de me répondre à chaque fois.

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